✅ D’un côté, les mutuelles. De nature coopérative et à but non lucratif pour la grande majorité, elles peuvent s’appuyer sur des attributs de solidarité et de cohésion. Les membres entretiennent généralement des liens étroits du fait du modèle de gestion fondé sur la participation et sur l’adhésion volontaire. Les offres des mutuelles se concentrent essentiellement sur une gamme de services de santé allant de l’accessibilité à la prévoyance en passant par les remboursements des frais médicaux.
🩺 La santé représente 84% des cotisations chez les mutuelles contre 7% pour les assurances.
Enfin, le coût des primes et cotisations est fixé de façon indépendante et non-soumis à la loi des marchés financiers...
Qui ne désire pas un peu plus d’indépendance aujourd’hui ?
✅ De l’autre, les assurances. La personnalisation est une caractéristique qui leur est propre. La possibilité de paramétrer le niveau de couverture « à la carte » rassure les assurés en plus de couvrir un spectre plus large : vie, habitation, automobile, voyage... Un mode opératoire sous contrat où le rôle du service client devient central, avec des assurés qui exigent des prises en charge rapides. Une tendance qui s’observe par un développement massif de nouveaux modèles d’assureurs. D’ailleurs, 52% des Français seraient prêts à délaisser leur assurance traditionnelle au profit des assurtech.
Un défi d’adaptation pour les compagnies historiques
Si mutuelles et assurances partagent la notion de protection contre les risques, elles diffèrent de par leur ADN. Pas jumelles mais pas antagoniques pour autant, elles jouent un rôle essentiel dans la gestion des risques financiers dans nos vies quotidiennes et nous sécurisent dans les moments clés de nos vies 👨